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 Ils n'étaient pas frères et pourtant... Albanie 1943-1944.

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Claire
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MessageSujet: Ils n'étaient pas frères et pourtant... Albanie 1943-1944.   Ils n'étaient pas frères et pourtant... Albanie 1943-1944. EmptyDim 3 Déc à 23:49

Bonsoir à Toutes et à Tous et en particulier aux Administrateurs des lieux.

Le livre dont je viens vous parler nous raconte l’histoire de deux enfants, l’un juif l’autre pas en Albanie occupée par les nazis, leur amitié et leur engagement, alors devenus des jeunes gens, à tout mettre en œuvre pour combattre l’occupant et organiser l’accueil de familles juives ayant trouvé refuge en Albanie.

UNE HISTOIRE MECONNUE...

ALBANIE

LITTERATURE, HISTOIRE ET CULTURE


Sujet:

HISTOIRE DE LA COMMUNAUTE JUIVE PROTEGEE EN ALBANIE SOUS L’OCCUPATION NAZIE

Ils n’étaient pas frères et pourtant… Albanie 1943-1944.

de

Neshat TOZAJ

Editions: La Société des Ecrivains

Catégorie: roman à caractère historique

ISBN:2748016998
238 pages
Disponible jusqu’en juin 2007

UNE HISTOIRE A DECOUVRIR

Ce dernier roman de Neshat Tozaj publié en France, inspiré de faits authentiques, nous décrit l’histoire de la communauté juive présente ou accueillie en Albanie au temps de la Seconde Guerre Mondiale. Il nous permet de prendre connaissance de l’accueil bienveillant réservé par la population albanaise à la communauté juive en cette période dramatique.
Le récit nous livre une histoire dont la base repose sur un évènement authentique: l’accueil d’un enfant albanais juif caché dans une famille. Au sein de cette deuxième famille Solomon, considéré comme le second fils de la maison, trouve protection et affection.

A travers l’amitié des ces deux enfants Neshat Tozaj nous permet d’approcher la Résistance albanaise, de ses balbutiements à son organisation et l’engagement de nombreux juifs, hommes, femmes, jeunes gens et jeunes filles auprès des partisans. L’auteur rend du reste un hommage tout à fait particulier au tribut apporté par ces derniers.
La communauté juive n’y est pas seulement dépeinte en tant que communauté persécutée mais aussi en tant que communauté albanaise vivant parmi d’autres Albanais, unis dans le même combat mené contre le nazisme et le fascisme.

Ce récit à caractère historique permet aux lecteurs de découvrir une page d’histoire demeurée inconnue de la plupart des occidentaux jusqu’à la chute d’Enver Hoxha et contribue à faire reculer bien des préjugés.

—–

4ème de couverture de l’ouvrage:

Le hasard veut que se rencontrent deux enfants albanais, l’un juif l’autre pas. Sazan et Solomon se lient d’amitié et découvrent les richesses de l’un et de l’autre. Puis vient la guerre et l’occupation nazie, la famille de Solomon est immédiatement cachée et protégée. C’est ainsi que par ce récit inspiré de faits authentiques l’on apprend qu’aucun Albanais juif ou réfugié ne fut déporté pendant la seconde guerre mondiale dans ce pays. Certains protecteurs particulièrement humains et courageux sont même allés jusqu’à sacrifier leur vie pour sauver ce qu’ils avaient accueillis. Pour eux c’était une question d’honneur.

Ce livre passionnant et émouvant écrit dans un style limpide et poétique, malgré l’horreur des évènements, nous permet d’aborder une Albanie méconnue.

Neshat Tozaj est né à Vlora en Albanie le 1er janvier 1943. Ecrivain, journaliste, juriste et directeur de la société Albautor (protection des droits d’auteur), Neshat Tozaj est au premier rang de ceux qui défendent les droits de l’homme et met son talent au service de son pays et de son devenir.

——

Extrait d’un article rédigé à l’attention de l’auteur par Monsieur Pierre Stambul, Vice président de l’Union Juive Française pour la Paix.

Article adressé avec l’aimable autorisation de son auteur.

UNE HISTOIRE OUBLIEE

À travers un roman qui se déroule en Albanie pendant les années 30 puis la guerre et qui s’appuie sur des événements réels, Neshat Tozaj (*) nous rappelle un épisode historique largement inconnu, aussi bien en France, que parmi les Juifs du monde entier.

Même dans les pires périodes de la barbarie Nazi et du génocide, s’il y a eu des gens qui ont basculé dans le racisme le plus abject, la collaboration et le crime de masse, il y en a eu aussi que rien ne prédisposait à la moindre forme « d’héroïsme » et qui ont résisté, moralement et les armes à la main, à l’inhumanité.

L’attitude de la grande majorité du peuple albanais pendant l’occupation rappelle un peu celle des paysans protestants français du Chambon-sur-Lignon qui ont sauvé des centaines d’enfants juifs en les dissimulant parmi leurs propres enfants.

La communauté juive albanaise n’a jamais été très nombreuse. Si une présence juive ancienne en Albanie semble certaine, les Juifs albanais descendent probablement des Juifs accueillis par l’empire ottoman dès le XVe siècle et dispersés dans l’empire. Population urbaine et instruite dans une Albanie très rurale, ils n’ont jamais subi de persécution. Le livre décrit cette rencontre entre deux mondes très différents, la petite communauté juive et les communautés villageoises qui se sont structurées avec de grandes traditions d’hospitalité et d’entraide.

Quand la guerre éclate, en même temps que le parti communiste albanais va très vite organiser la résistance de tout un peuple et l’auto organisation des villages, cette résistance va organiser le sauvetage de la communauté juive. Mieux, les villages albanais vont accueillir et cacher des Juifs fuyant l’Europe de l’Est. Aucune déportation n’a eu lieu dans le pays. Le livre relate la véritable fraternisation qui s’est déroulée. Il faut savoir que les Albanais ont aussi accueilli des soldats italiens (qui les avaient pourtant envahis) après la capitulation de 1943. [...]

L’Albanie des années tragiques montre que l’antisémitisme n’est pas inéluctable et qu’une véritable entente entre un peuple et une minorité qui vit chez lui est possible.

On a aussi souvent donné une image très négative de l’Albanie : dictature stalinienne, naufrage économique, mafia. Neshat Tozaj nous restitue un peuple humain, hospitalier, solidaire, généreux. Des structures villageoises d’entraide ont permis l’émergence d’une résistance nationale qui a contrôlé les montagnes de l’intérieur pendant toute la guerre.
Merci à l’auteur de nous avoir rappelé cette histoire édifiante.

Pierre Stambul
Vice-président de l’Union Juive Française pour la Paix, UJFP

(*) « Ils n’étaient pas frères et pourtant … Albanie 1943-1944 », Neshat Tozaj, Editions S.d.E (La Société des Ecrivains)

——

A suivre quelques témoignages de personnes ayant trouvé refuge en Albanie sous l'occupation nazie et quelques éléments d'information relatifs à la culture albanaise…

Avec toute ma considération.

Claire.
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Claire
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MessageSujet: Communauté juive protégée en Albanie sous l'occupation nazie   Ils n'étaient pas frères et pourtant... Albanie 1943-1944. EmptyDim 3 Déc à 23:58

Exemples de témoignages de personnes ayant trouvé refuge en Albanie sous l’occupation nazie:

Témoignages adressés dans leur langue d’origine afin de ne pas altérer leur authenticité.

“Farewell, Albania, I thought. You have given me so much hospitality, refuge, friends, and adventure. Farewell, Albania. One day I will tell the world how brave, fearless, strong, and faithful your sons are; how death and the devil can’t frighten them. If necessary, I’ll tell how they protected a refugee and wouldn’t allow her to be harmed even if it meant losing their lives. The gates of your small country remained open, Albania. Your authorities closed their eyes, when necessary, to give poor, persecuted people another chance to survive the most horrible of all wars. Albania, we survived the siege because of your humanity. We thank you.”

Irene Grunbaum.



...”There is a small country in the heartland of Europe called Albania where I was fortunately born, where hospitality to foreigners is part of their tradition. During the Second World War, not only did the Albanians save all the Jews who were living among them but they dared to share their homes, their food and their lives with them. Albania has its share of Oscar Shindlers, and, indeed, so many that we could never have thanked each glorious one of them.
Let us be reminded that not one - not one - of the Jews living in Albania, or those who sought refuge there were turned over to the fascists - all found a safe haven at great danger to their protectors.”...


Dr. Anna Kohen.



“All Israelis that came from Albania were saved thanks to the generous sentiments of the Albanian people that considered it as a moral duty to protect in their own houses every persecuted emigrant… The marvelous and noble attitude of the Albanian people needs to be known because they deserve the world’s and every cultured man’s thankfulness… Even the poor peasants, not only received Jews in their homes, but also shared with them their last piece of bread.’ Another Jew, Nisim Bahar that got saved from the hands of the Nazis that wanted to execute him in Fier, wrote to his sister in law, Zhulia Kantozi: ‘I am in Ohrid I have climbed a hill on the lakeside and I see Pogradec. How I missed that country! If I could have wings to fly, I would come to kiss that holy Albanian land that saved my life.”

Samuel Mandili (1945)



…”Albania was one of the only European countries that did not turn over a single Jew to the Germans. There simply were no deportations from Albania.
My parents and I, along with many other German and Austrian families, found refuge in Albania and were hidden by Albanians during the German occupation of that country. In 1941, when Germany occupied Yugoslavia, hundreds of Yugoslavian Jews were able to escape to the safety of Albania because the Albanian government opened the border at Kosovo and let as many Jews into the country as were able to escape from the pursuing German army. It is a documented fact that the German general in Belgrade knew the names of all those who had escaped across the border and demanded their return within 48 hours. The Albanian government, instead of turning over even a single Jew, dispersed them in villages and on farms, gave them Albanian names and documents and then reported back to the German general in Belgrade:
“We know no Jews. We know only Albanians.”

...Albanians, whether Muslim or Christian, are the most hospitable, generous and kind human beings. It should be emphasized that this was not just an act of their customary, known hospitality, this was an act of personal courage. They simply placed their belief in the necessity to help those in need above their and their family’s safety.


Johanna J. Neumann, Silver Spring, MD


——

Je précise que “Ils n’étaient pas frères et pourtant…Albanie 1943-1944″ se réfère directement à plusieurs évènements authentiques que l’auteur a préféré nous présenter sous forme de roman avec bien entendu une part de fiction afin de s’adresser à un public qui ne soit pas uniquement composé d’historiens, d’universitaires ou de spécialistes des Balkans.
L’homme en effet, avant tout écrivain, a toujours choisi ce mode d’écriture pour nous initier à l’histoire de son pays et en révéler des facettes inexplorées ou méconnues.
Tel fut le cas du roman intitulé “Les couteaux” (préface de M. Ismaïl Kadaré) qui lors de sa publication fit l’effet d’une bombe et nous en apprit bien davantage sur les exactions commises par le Sigurimi que bien d’autres modes d’expression. “Les couteaux” paru chez Denoël en 1991 fut en son temps salué par l’ensemble de la communauté internationale et Neshat Tozaj est considéré par bon nombre d’observateurs, y compris par La Maison Blanche, comme l’un des principaux acteurs à l’origine de l’amorce de démocratie en Albanie.

Le sujet évoqué par Neshat Tozaj fit l’objet de plusieurs études en Italie, aux États Unis et outre-Manche notamment de la part de Messieurs Michele Sarfatti, Bernd Fisher, Stephen Schwartz, Jack Goldfarb et Harvey Sarner sans parler de Madame Antonia Young en Grande Bretagne. Cette page d’histoire fut également abordée en France par Messieurs Claude Wainstain et Meïr Waintrater mais à ce jour aucune étude approfondie n’y fut réellement consacrée sans doute en raison du manque d’information à disposition (cinquante ans d’isolement total)...

C’est naturellement à titre bénévole et amical que j’entreprends cette «campagne d’information». Si le sujet de cet ouvrage me tient tant à cœur c’est que je suis issue d’une famille d’enseignants composée de catholiques, de protestants, de juifs ou “d’athées totaux” aux nationalités également fort variées qui tous s’attachent depuis toujours à respecter les différences et à rassembler. L’ouvrage nous apprend et nous démontre en effet que cela fut possible en terre isolée, multiculturelle et multiconfessionnelle.

Quelques éléments d'information à propos d’une Albanie méconnue

Au sujet de la situation religieuse en Albanie:

Une étude des confessions représentées en Albanie mériterait une mise à jour. En effet selon les sources des autorités religieuses du pays, seulement 10% de la population se déclarent ouvertement appartenir à telle ou telle confession. Répartition qui se définirait de nos jours de la façon suivante: 50 % de musulmans, 30% d’orthodoxes et 20% de catholiques. A noter également de nombreuses et récentes conversions au protestantisme, églises évangélistes américaines largement présentes en Albanie, qui gagnerait du terrain parmi les 90% d’Albanais qui jusqu’à présent ne revendiquaient aucune appartenance religieuse. Ces différentes appartenances demeurent quoi qu’il en soit toujours secondaires aux yeux de la majorité des Albanais dont la première des religions est d’être avant toute chose albanais. Également coutumiers des mariages mixtes les Albanais ont d’ailleurs toujours fait preuve d’une réelle tolérance religieuse. Il n’est pas rare par exemple de voir actuellement au sein d’une même famille plusieurs confessions représentées sans que cela pose de problème.
Cette autre caractéristique de la culture albanaise est sans doute aussi pour quelque chose à l’accueil réservé aux juifs à diverses époques de leur histoire.

A propos de la tradition du Besa:

Tradition sur laquelle, je le précise, jamais Neshat Tozaj ne s’appesantit dans son ouvrage, ne faisant qu’évoquer certains principes de base inhérents à un code d’honneur en vigueur parmi les montagnards, les villageois et les paysans. L’auteur nous permet simplement de nous initier à certaines coutumes de son pays. Code d’honneur qui fut toutefois souvent évoqué par les historiens et les spécialistes ayant étudié ce chapitre d’histoire sans parler des réfugiés eux mêmes. Parmi ces personnalités, de multiples nationalités, à y avoir fait référence se trouvent notamment le Dr. Mordecai Paldiel, Messieurs Claude Wainstain, Stephen Schwartz, Jack Goldfarb, Chaim Frank, Lino Sciara, Michele Sarfatti ainsi que Madame Antonia Young.

A propos du Besa, j’aimerais vous faire partager l’opinion des personnalités précitées, tradition qui n’est pas étrangère à notre sujet.
Parmi les coutumes à observer, il en est une qui “oblige” les Albanais à porter secours à tout étranger dans la détresse, commandement qui naturellement ne s’applique pas uniquement à la communauté juive. Il se trouve pourtant qu’en ce qui la concerne et au cœur de la barbarie nazie de nombreux juifs purent bénéficier de l’accueil bienveillant réservé à l’Hôte en général en Albanie et donc y trouver refuge. Un code d’honneur, assez similaire et commun à plusieurs peuples méditerranéens, fut d’ailleurs à l’époque appliqué de la même manière en Sicile et en Corse. Cette tradition d’accueil et d’hospitalité en vigueur depuis toujours en Albanie et typique de ce petit pays mérite à mon humble avis d’être soulignée. C’est en effet aussi grâce à elle et à une tolérance religieuse légendaire et séculaire que diverses minorités trouvèrent refuge en Albanie au cours des âges dont de nombreux juifs expulsés d’Espagne au temps des persécutions perpétrées sous le règne d’Isabelle la catholique. Tradition plus que deux fois millénaire en partie due à l’histoire du pays qui, depuis plus de 2000 ans, subit de très nombreuses invasions successives sans jamais avoir envahi aucun de ses voisins. Le problème du Kosovo et de son appartenance historique étant le seul point litigieux de l’histoire de l’Albanie. Tradition d’accueil qui permit par exemple aux soldats Grecs et Italiens de demeurer en Albanie après les défaites respectives de leur pays. J’ai du reste reçu à ce propos des témoignages de plusieurs Italiens qui à la lecture de l’ouvrage ont tenu à me faire savoir que leurs grands pères, après la défaite de Mussolini, avaient été invités à poursuivre leur vie en Albanie ou à regagner l’Italie grâce à l’assistance de familles albanaises sans que jamais aucun mal ne leur ait été fait. Certains d’entre eux ayant épousé des jeunes filles du pays ont du reste choisi de vivre en Albanie.

Il est d’autre part remarquable, au sens littéral du terme, que les personnes ayant rendu le plus bel hommage au Besa appartiennent pour la plupart d’entre elles à la communauté juive. Elles savent a priori de quoi elles parlent et pour cause. Il est à l’occasion essentiel de souligner que les juifs protégés en Albanie le furent non seulement par des chrétiens, des agnostiques mais également par de très nombreux musulmans.

—–

Je vous prie de bien vouloir excuser la longueur du texte adressé mais le sujet abordé par Neshat Tozaj requiert quelques précisions nécessaires afin de situer le contexte historique du roman.

Me promenant souvent au fil de vos jolies pages, j’ai pensé que cette page d’histoire pouvait peut-être retenir l'attention de certains d'entre vous.

Avec toute ma considération renouvelée.

Claire.

*Diffusion: Société des Ecrivains, Amazon.fr, alapage.com ou certaines librairies (sur commande)
Public conseillé: Adolescents, Parents et Grands Parents. (Livre à faire circuler autour de soi)

P.S. En annexe à l’ouvrage présenté, je tiens à la disposition de toutes les personnes qui souhaiteraient se pencher sur cette Histoire méconnue, voire ignorée, bon nombre de documents et de témoignages relatifs au sauvetage de la communauté juive en Albanie. Communauté composée d’Albanais juifs et de personnes originaires de pays limitrophes ayant trouvé refuge en Albanie, pour certains d’entre eux dès le début des années trente.
Documents parfois utiles afin d’éviter toute confusion entre Albanie et territoires annexés à cette dernière sous occupation mussolinienne et nazie cf. “Grande Albanie” : Kosovo, Macédoine occidentale et Monténégro méridional…

—–

Ce n’est pas la mort, mais l’indifférence
qui est le contraire de la vie.
Ce n’est pas la haine, mais l’indifférence
qui est le contraire de l’amour.


Elie Wiesel.
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